Amadou Chico
L'un des innovateurs les plus visionnaire et osé de sa génération, Amadou Chico Cissoko a pour mission d'inspirer et de guider l'esprit et le codes des futurs leaders d'Afrique afin qu'ils donnent un meilleur sens à leurs vies, tout en offrant des solutions innovantes et effectives aux populations qu'ils servent.
Avec plus de 10 années d'expériences en Innovation et Entreprenariat à travers le continent Africain, Amadou est le fondateur du premier site Agrotouristique de Guinée (Le Vathaba), co-fondateur du Mouvement Osez Innover pour L'entreprenariat sociale, et a été reconnu comme l'un des jeunes leaders Africains les plus prometteurs par le Président Barack Obama.
Ayant été le seul formateur en chef du programme d’Entreprenariat pour deux (2) des quatre (4) centres régionaux de leadership YALI à Nairobi et Accra; Chico a pour objectif d’impacter positivement la vie de plus d'un milliard de personnes (jeunes hommes et femmes) à travers le monde.
Ben Mohamed Raki
Ayant étudié dans des institutions réputées à travers le monde, elle a obtenu une maîtrise en sciences de l'administration des affaires (Grande Ecole française), une maîtrise en relations internationales (Freie Universitat de Berlin), avec un passage en finance à l'Université de Lima en Pérou, ses réalisations académiques ont été transmises au secteur privé. Elle a travaillé en Europe et en Amérique du Nord, devenant l'un des rares contrôleurs financiers nés en Afrique d'un important fabricant de pièces automobiles américain.
Maintenant, après 15 ans à l’étranger, elle est de retour au Niger et prête à apporter son expérience et ses connaissances pour aider à libérer le potentiel latent du Niger et à relancer son âge d’or.
Carl Malan
Carl Manlan est un apprenant constant. Son parcours d'apprentissage l'a mené à Harare, au Cap, à Genève, à Kinshasa, au Massachusetts, à Addis-Abeba, à Johannesburg, à Accra et actuellement à Lomé. A travers son travail au carrefour des sociétés publiques, privées et civiles, il apprend et contribue au projet #AfricaWeHave.
Il a suivi une formation d'économiste à l'Université du Cap avant de travailler pendant dix ans dans le financement de la santé auprès des gouvernements, ONG, de la société civile et du secteur privé. En 2014, il a été sélectionné à la Commission économique pour l'Afrique pour diriger la Fondation Mo Ibrahim. En 2016, en tant que Fellow New Voices de l'Institut Aspen, il a découvert le pouvoir des idées transformées en articles d'opinion. Il écrit à propos de #AfricaWeHave
Carl Manlan
Carl Manlan est un apprenant constant. Son parcours d'apprentissage l'a mené à Harare, au Cap, à Genève, à Kinshasa, au Massachusetts, à Addis-Abeba, à Johannesburg, à Accra et actuellement à Lomé. A travers son travail au carrefour des sociétés publiques, privées et civiles, il apprend et contribue au projet #AfricaWeHave. Il a suivi une formation d'économiste à l'Université du Cap avant de travailler pendant dix ans dans le financement de la santé auprès des gouvernements, ONG, de la société civile et du secteur privé. En 2014, il a été sélectionné à la Commission économique pour l'Afrique pour diriger la Fondation Mo Ibrahim. En 2016, en tant que Fellow New Voices de l'Institut Aspen, il a découvert le pouvoir des idées transformées en articles d'opinion. Il écrit à propos de #AfricaWeHave
Dayak Mawli
Mawli Dayak, le fils de l’emblématique Mano Dayak, est un artiste touareg, il dirige désormais la société Temet Evenements, engagée dans l’organisation de manifestations culturelles, touristiques, et la promotion du Niger.
Ayant lancé une manifestation pour se prémunir des lendemains incertains par la culture et le tourisme. Le jeune dirigeant de la société Temet Evenements, organise le festival Le Chant des dunes, où sont notamment attendus Tiken Jah Fakoly et Tinariwen, il saisit l’occasion pour lancer, le 15 décembre, une fondation portant le nom de son défunt père. Le lendemain s’est tenu également le Grand marathon du Ténéré, organisé par Agdal Waissan ; dont l’objectif est de relancer le tourisme dans la grande ville du Nord, et profiter des milliers d’emplois créés pour lutter contre violence et trafics en tout genre.
Mawli Dayak, est une personnalité locale et internationale. En juin 2018, il organise avec d’autres partenaires africains le CITAO (Carrefour Innovation et Tourisme en Afrique de l'Ouest),1er salon du tourisme d’Afrique de l’Ouest.
DR. Ferdjani Djamila
Médecin et militante philanthrope Nigérienne, le Dr. Djamila Ferdjani est connue aux niveaux national et régional pour son action dans trois domaines principaux : la santé, en particulier celle des enfants, des femmes et des démunis ; le sport, et enfin le militantisme social. Elle a été la première femme présidente d’une fédération nationale de sport au Niger, la Fédération nigérienne de basket-ball. Elle fait ainsi partie du cercle très fermé des femmes ayant occupé ou occupant ce poste. Elle est comptée parmi les premières femmes nigériennes médecin et entrepreneure, avec la fondation d’une polyclinique multidisciplinaire privée à Niamey en 1992, la polyclinique Pro Santé. Commentatrice et militante sociale, elle fait partie des utilisatrices Africaines les plus actives sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et Facebook, qu’elle utilise pour informer et mobiliser la jeunesse africaine. Son objectif est de faciliter et promouvoir le changement sociétal et l’émergence d’un mouvement panafricain, solidaire, volontaire et égalitaire. Elle communique sur les questions de développement, de santé, d’autonomie, d’humanisme, de solidarité, de justice, de défense des droits de l’Homme, de paix. Elle compte parmi les premières femmes nigériennes médecin et entrepreneure, avec la fondation d’une polyclinique multidisciplinaire privée à Niamey en 1992, la polyclinique Pro Santé. Elle fait partie du classement FNUAP (Fonds des Nations unies pour la population) des 100 femmes leaders du Niger en 2012. Elle a également été élue « femme Nigérienne de l’année » par le quotidien nigérien TamTam Info en 2012. Commentatrice et militante sociale, elle fait partie des utilisatrices Africaines les plus actives sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et Facebook, qu’elle utilise pour informer et mobiliser la jeunesse africaine. Son objectif est de faciliter et promouvoir le changement sociétal et l’émergence d’un mouvement panafricain, solidaire, volontaire et égalitaire.
Ferdjani Djamila
Médecin et militante philanthrope Nigérienne, le Dr. Djamila Ferdjani est connue aux niveaux national et régional pour son action dans trois domaines principaux : la santé, en particulier celle des enfants, des femmes et des démunis ; le sport, et enfin le militantisme social. Elle a été la première femme présidente d’une fédération nationale de sport au Niger, la Fédération nigérienne de basket-ball. Elle fait ainsi partie du cercle très fermé des femmes ayant occupé ou occupant ce poste.
Elle est comptée parmi les premières femmes nigériennes médecin et entrepreneure, avec la fondation d’une polyclinique multidisciplinaire privée à Niamey en 1992, la polyclinique Pro Santé. Commentatrice et militante sociale, elle fait partie des utilisatrices Africaines les plus actives sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et Facebook, qu’elle utilise pour informer et mobiliser la jeunesse africaine. Son objectif est de faciliter et promouvoir le changement sociétal et l’émergence d’un mouvement panafricain, solidaire, volontaire et égalitaire. Elle communique sur les questions de développement, de santé, d’autonomie, d’humanisme, de solidarité, de justice, de défense des droits de l’Homme, de paix. Elle compte parmi les premières femmes nigériennes médecin et entrepreneure, avec la fondation d’une polyclinique multidisciplinaire privée à Niamey en 1992, la polyclinique Pro Santé.
Elle fait partie du classement FNUAP (Fonds des Nations unies pour la population) des 100 femmes leaders du Niger en 2012. Elle a également été élue « femme Nigérienne de l’année » par le quotidien nigérien TamTam Info en 2012.
Commentatrice et militante sociale, elle fait partie des utilisatrices Africaines les plus actives sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et Facebook, qu’elle utilise pour informer et mobiliser la jeunesse africaine. Son objectif est de faciliter et promouvoir le changement sociétal et l’émergence d’un mouvement panafricain, solidaire, volontaire et égalitaire.
Garvi Josef
Josef Garvi est un spécialiste sur les arbres alimentaires autochtones du Sahara. Ayant vécu à Zinder depuis son enfance, il a emboîté les pas de ses parents qui travaillaient sur le reverdissement des zones désertifiées, et a eu à connaître la flore locale et ses potentialités en profondeur. Développeur de système expérimenté, il a préféré investir son temps à développer des aliments à partir des plantes sous-exploitées des zones arides, supposant que la valorisation de sources alimentaires novatrices et naturelles est plus urgente que les innovations NTIC. En 2014, il a fondé l'entreprise sociale Sahara Sahel Foods avec sa femme et un ami. Celle-ci fabrique aujourd'hui 50 produits provenant de 15 arbres indigènes, dont 5 ont été primés aux diverses éditions du salon agroalimentaire national SAHEL-Niger. Le travail se fait grâce à une équipe de 19 personnes, 200 sous-traitantes et un réseau de cueilleuses de fruits de 1500 personnes situées dans les régions de Zinder, Maradi et Diffa. Josef a d’abord servi comme Directeur Général de l’entreprise, et y est actuellement le Directeur de l'Innovation. Arrivé à Zinder en 1986 avec ses parents, Josef fait l’école primaire à l’établissement Cours François Villon, puis le collège par cours par correspondance. À partir de l’âge de 15 ans, il s’engage dans Eden Fondation, où il développe les systèmes informatiques pour la recherche sur le semis direct des arbres résistantes à la sécheresse, ainsi que pour la vulgarisation de ces arbres au niveau de la population rurale. Il y acquière des connaissances profondes sur la flore indigène du Niger et ses potentialités alimentaires. En parallèle, il développe des logiciels à titre commercial qui sont licenciés entre autres aux entreprises Volvo et S.A.S. En 2011, Josef et son épouse démarre une activité de valorisation des aliments à base de la graine du hanza, qui amène à la création en 2014 de l’entreprise sociale Sahara Sahel Foods. Celle-ci fabrique et commercialise aujourd’hui 50 produits alimentaires à partir de 14 arbres indigènes du Niger. Le travail se fait grâce à une équipe de 18 personnes, 200 sous-traitantes, et un réseau de cueilleuses de fruits de 1500 personnes situées dans les régions de Zinder, Maradi et Diffa. Josef a d’abord servi comme Directeur Général de l’entreprise, et y est actuellement le Directeur de l'Innovation.
Mindaoudou Zeinabou
Mme Zeinabou Mindaoudou a intégré l’Institut des Radio-Isotopes de l’Université Abdou Moumouni (UAM) de Niamey après un diplôme d’ingénieur en électronique, en tant que responsable du Laboratoire de Maintenance Electronique et Informatique. Après son DEA en Communication, Optique et Microondes à l’université de Limoges (France), elle a été élue adjointe du chef de département de Physique et Chimie Nucléaires de l’Institut des Radio-Isotopes de l’UAM. Elle obtint son Doctorat en Physique Appliquée à l’Université de Paris XIII, et fut élue Chef du Département de Physique et Chimique Nucléaires au sein de la même institution. Elle a coordonné plusieurs projets de coopération technique et a organisé plusieurs conférences internationales. Forte de plus de vingt années d’expériences dans le domaine nucléaire, Dr Zeinabou Mindaoudou a été nommée conseillère spéciale du Président de la République pour les applications nucléaires en 2012, puis présidente de la Haute Autorité Nigérienne à l’Energie Atomique(HANEA) où elle œuvre sans relâche pour faire avancer la cause auprès de toutes les parties prenantes, aux niveaux national et international.
Moulay Bachir Bendekken
Mon parcours d’entrepreneur a commencé au primaire par la vente en détail d’un paquet de bonbon que j’ai eu en cadeau ; Photographe amateur et vendeur de jus de tamarin fait maison au collège (Tanout) ; Vendeur sur commission des pièces de rechange moto, apprenti mécanicien moto et répétiteur à domicile au Lycée (Zinder). Après mes 4 ans d’université (bourse d’étude au Maroc), stagiaire et enseignant vacataire pendant 1 an cours de vacations. En 2002 J’intègre l’école d’aviation civile EAMAC et ouvre un cybercafé puis une société de maintenance informatique. En 2004 L’ASECNA m’embauche comme ingénieur de maintenance, je quitte et crée l’EPN (Ecole Polytechnique de Niamey) en 2008 avec très peu de moyen mais beaucoup de volonté « commencer petit mais voir grand » car mon premier objectif pour mon pays était de rehausser les compétences des jeunes pour une meilleure employabilité. Trois ans après je crée le Groupe BENALYA puis ensuite les autres filiales Aujourd’hui je suis leader de toute une équipe de jeunes et adultes dans lesquels j'investi beaucoup de temps et de ressources pour développer en eux et en elles ma vision de créer un écosystème intégré pour mettre en valeur les potentialités énergétiques et agricoles du Niger pays et de la région. J’investi beaucoup dans le développement de leurs capacités et compétences pour réaliser la mission du Groupe BENALYA.
Moulaye Bachir Bendekken
Mon parcours d’entrepreneur a commencé au primaire par la vente en détail d’un paquet de bonbon que j’ai eu en cadeau ; Photographe amateur et vendeur de jus de tamarin fait maison au collège(Tanout) ; Vendeur sur commission des pièces de rechange moto, apprenti mécanicien moto et répétiteur à domicile au Lycée(Zinder). Après mes 4 ans d’université (bourse d’étude au Maroc),stagiaire et enseignant vacataire pendant 1 an cours de vacations . En 2002 J’intègre l’école d’aviation civile EAMAC et ouvre un cybercafé puis une société de maintenance informatique. En 2004 L’ASECNA m’embauche comme ingénieur de maintenance, je quitte et crée l’EPN (Ecole Polytechnique et Niamey) en 2008 avec très peu de moyen mais beaucoup de volonté « commencer petit mais voir grand » car mon premier objectif pour mon pays était rehaussé les compétences des jeunes pour une meilleure employabilité. Trois ans après je crée le Groupe BENALYA puis ensuite les autres filiales
Aujourd’hui je suis leader de toute une équipe de jeunes et adultes dans lesquels j'investi beaucoup de temps et de ressources pour développer en eux et en elles ma vision de créer un écosystème intégré pour mettre en valeur les potentialités énergétiques et agricoles du Niger pays et de la région. J’investi beaucoup dans le développement de leurs capacités et compétences pour réaliser la mission du Groupe BENALYA.
Tchibindat Félicité
En tant que représentante de l’UNICEF au Niger, Félicité TCHIMBIDAT est une femme remarquable énormément passionnée par ce qu’elle fait. Parcourant l’ensemble du terroir nigérien, elle rencontre des personnes exceptionnelles qui l’inspirent et lui permettent d’accomplir sa noble mission. Félicité nous a également fait l’honneur d’être la Guest Speaker Surprise du TEDxVDF.
Tchinbidat Félicité
En tant que représentante de l’UNICEF au Niger, Félicité TCHINBIDAT est une femme remarquable énormément passionnée par ce qu’elle fait. Parcourant l’ensemble du terroir nigérien, elle rencontre des personnes exceptionnelles qui l’inspirent et lui permettent d’accomplir sa noble mission. Félicité nous a également fait l’honneur d’être la Guest Speaker Surprise du TEDxVDF.
Youssoufou Zouera
Zouera Youssoufou est la Directrice Générale de la Fondation Aliko Dangote. Avec une dotation de plus d’un milliard de dollars par Mr Aliko Dangote en 2014, la Fondation représente la plus grande Fondation philanthropique en Afrique subsaharienne. Basée à Lagos, la Fondation Aliko Dangote a pour mandat d’améliorer le quotidien des plus démunis au Nigeria, en Afrique et dans le monde à travers des investissements dans les domaines de la santé et la nutrition, l’éducation et l’autonomisation économique des familles. Dans son rôle de Directrice Générale de la Fondation, Zouera apporte également son concours aux décisions liées aux Investissements Sociaux du Groupe Dangote. Avant de diriger la Fondation Aliko Dangote, Zouera était la Représentante de la Banque mondiale pour le Gabon, la Guinée Equatoriale, et Sao Tomé et Principe. Elle assurait le lien du groupe de la Banque Mondiale avec ces trois pays, dont elle était l’interlocutrice privilégiée, et menait le dialogue avec tous les acteurs de l'État, de la société civile et les autres bailleurs. Chargée du développement des stratégies, elle supervisait la mise en place des projets de la Banque mondiale dans les trois pays. Avant de rejoindre la Banque mondiale, Zouera a passé 6 ans à la Société Financière.